Le carreleur est un artisan qui pose le marbre taillé ou encore les carreaux et le granit. Dans le cadre de son ouvrage, il lui est nécessaire de souscrire à différentes assurances. Découvrez lesquelles.
L’assurance RCPro
La règle de prudence est également soumise au carreleur qui est tenu de choisir les bonnes assurances. Déjà, il doit avoir une assurance responsabilité civile professionnelle. Souscrire à ce type d’assurance est alors vivement recommandé.
Grâce à cela, le carreleur pourra être couvert dans ses relations avec les clients en cas de dommages. Cela lui évitera aussi d’altérer ses liens avec les tiers. Il pourra donc garder de bonnes relations avec ses clients ainsi que son rôle de conseiller pour bien choisir son carrelage, par exemple.
La garantie décennale pour le carreleur
Le carreleur est un acteur incontournable dans le monde du bâtiment et de la construction. Cet ouvrier est donc tenu de souscrire à une garantie décennale lui permettant de couvrir les travaux qui peuvent porter atteinte à la robustesse d’un ouvrage donné ou qui le rendent impropre à sa finalité.
Par rapport à cela, le carreleur peut se fier aux divers articles du Code Civil en partant de l’article 1792 et suivants. Ces derniers lui sont utiles pour faire la différence entre carrelage scellé et carrelage collé. Pour ce dernier, la garantie est de 2 ans étant donné que le carrelage semble être un élément d’équipement qui est dissociable. En ce qui concerne le carrelage scellé, la garantie de 10 ans est celle qui s’applique. L’ouvrage ne peut être enlevé sans que cela ne porte pas atteinte au bâtiment.
Vous pouvez demander à consulter toutes les assurances dont bénéficie un carreleur chez un professionnel afin de vous en inspirer si vous en avez besoin. Grâce aux conseils de vos collaborateurs, vous trouverez peut-être la meilleure compagnie d’assurance.